Call of Juarez : The Cartel

Un cartel entre les lignes

L’idée des deux premiers volets avait au moins un charme, même si elle ne donnait pas dans le génial : poser une trame FPS dans un univers Western. Mais non, pour un troisième opus, on a juste tiré un trait, pas très inspiré, qui leur casse plus le nez qu’autre chose…

[tab:Review]Y’a que paille qui m’aille…

Chez Ubi, soyons francs, il y a du y avoir de la farine dans la conception. Que diable. Fusiller à bout portant une licence qui n’allait pas trop mal pour nous servir, à la place de l’Ouest Sauvage, une lutte contre le trafique de drogue entre la Californie et le Mexique, vraiment… Au lieu du Western, on se retrouve en plein milieu d’un très mauvais film d’action, qui n’aurait même pas fait marrer un Hunter Thompson un jour de cuite. McCall un descendant de Ray dans les épisodes précédents, qui vient des services de police de la ville sera un avatar possible. Tout comme Kim Evans, agent du FBI ou Guerra,  membre pas très net de la DEA. En gros, trois gros enflés en dérivative de stéréotypes complètement loupés, voilà les choix que le joueur pourra opérer pour débuter l’aventure.

Bon, ce ne sera pas la première fois que l’on incarne un gros naze, mais si en plus de cela on a rajoute une conception au niveau du level design sortie d’un moule sans sel ni poivre, où l’on avance en dégommant des ennemis au cerveau de drosophile agressive, cela devient pathétique. Même si le titre est censé offrir des phases de conduite, qui plus est en coopération, la sauce ne prend pas. Bon, ok, il paraît que les avatars ont des raisons personnelles de faire tomber le cartel, mais là aussi ça se casse la gueule très vite. Les objets de « quête » sont tellement bidon et vides qu’après 20 minutes, la réalisation est tellement naze que tout vole en éclats…

Luttons contre la daube, qu’y disaient…

Difficile de s’y retrouver avec ce Call of Juarez. Changement d’orientation, moteur graphique qui fait moins bien que ses aïeux, et on en passe… Soit. Manque d’inspiration, trop peu de stimulants? Peu importe. Passez votre chemin, histoire d’éviter de faire profiter un cartel d’éditeurs qui pioncent!

Eric Rivera

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+ Les objectifs des avatars, mais mal exploités

– Changement d’orientation hors Western, moteur graphique, jouabilité… etc

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A propos rivera

Rédacteur en chef et journaliste RP, ma passion pour les jeux vidéo et la technologie ne faiblit pas depuis mon adolescence, qui me semble pourtant bien lointaine. Un recul cependant intéressant, puisqu'il me permet de jauger les nouveautés avec un regard plein d'expérience, couplé à une envie d'écrire de tous les jours.

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