Après deux épisodes réussis, Resistance, FPS mêlant intelligemment uchronie et action pêchue, nous revient avec un troisième volet doté d’une approche différente…
[tab:Review]I will survive…
Note S2P : 4 |
[xrrgroup][xrr rating=3.5/5 label= »Graphismes: »][xrr rating=3.5/5 label= »Bande Son: »][xrr rating=3.5/5 label= »Jouabilité: »] [xrr rating=3.5/5 label= »Difficulté: »] [/xrrgroup] |
A la différence de l’épisode précédent, nous n’incarnons pas ici un soldat d’une troupe d’élite prenant part à une lutte sans merci face à la menace chimérique. Notre héros, Joseph Capelli, est un soldat démis de ses fonctions, qui survit terré dans les sous-sols d’une ville de l’Oklahoma, avec sa femme et son enfant au sein d’une communauté de résistants. Mais le jeu offre aussi la possibilité d’incarner un Chimère (ce qui ne fut pas notre cas). L’aventure humaine débute alors que nos infâmes créatures retrouvent sa trace. Bien vite, on découvre l’arsenal disponible, bien souvent bricolé à partir d’armes récupérées, mais pourtant diablement efficace et souvent à double emploi. On pourra s’équiper à la volée parmi une douzaine de pétoires transportable, puisque les développeurs ont eu la bonne idée d’inclure une roue de sélection efficace. Pour vous protéger, le bouclier électrique ne sera pas de trop. Tout au long de l’avancement relativement classique pour un FPS, on découvre des paysages et des ennemis variés, dotés d’une IA très bien calibrée et qui donnent parfois du fil à retordre, d’autant que la jauge de vie ne se régénère plus toute seule. Les atmosphères sont bien mises en place, et l’on comprend vite qu’au lieu d’une guerre, il s’agit plutôt de survie, puisque les envahisseurs ont déjà gagné. La route qui nous mènera jusqu’à New York se présente comme un véritable défi qui rend le mode campagne palpitant.
Le multi n’a pas pour autant été mis de côté, puisque des affrontements à 16 au maximum sont proposés (au lieu des 60 joueurs du 2ème volet) dans des modes en ligne classiques mais plus dynamiques qu’auparavant et dotés de cartes mieux pensées, auxquelles viendront s’ajouter des DLC à l’avenir. On notera également la jouabilité du titre avec le Playstation Move, qui est bien implémentée et correctement calibrée, alors que le titre peut s’afficher en 3D.
Nouvelle orientation bien pensée
Ce nouveau Resistance prend une direction scénaristique fort intéressante, parvenant à apporter quelques nouveautés dans une mécanique de jeu déjà éprouvée. Dans la norme au niveau des graphismes, c’est l’atmosphère particulière qui transforme à quelque part le titre en survival, permettant de garder le jouer sous pression, au-delà d’un FPS habituel. Les fans de la première heure devraient apprécier, alors que les nouveaux venus seront agréablement surpris par l’accessibilité de ce troisième opus qui leur révélera les grandes lignes des premiers épisodes avant de se plonger dans l’action.
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Le scénario, la tournure survival, le nombre d’armes, l’IA. |
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On aurait souhaité des graphismes un peu plus fouillés. |
Eric Rivera
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