Après l’excellent « Ma mère, Dieu et Sylvie Vartan » Roland Perez revient avec un nouveau roman autobiographique intitulé « Ma mère, Dieu et Litzie ».
Dans ce deuxième ouvrage, c’est encore une femme qui est au cœur du récit. Cette fois il s’agit comme l’indique le titre, de Litzie, son premier amour. Malgré des débuts chaotiques, puisque Litzie est mariée, les deux jeunes gens finissent par se marier et avoir trois enfants. Tous deux avocats de profession, ils ouvrent également ensemble leur cabinet d’avocats. Leur bonheur sera toutefois entaché de deuils et assombri par la maladie de Litzie.
Roland Perez n’a pas son pareil pour naviguer entre humour et tendresse tout au long du récit de cette tranche de vie qui part de la rencontre avec la femme tant aimée et les mois qui suivent son décès. On adore retrouver Esther dans des scènes mémorables comme celle de sa rencontre avec Litzie. Dans ce récit lumineux qui célèbre l’amour, les liens familiaux et la joie malgré tout, le lecteur passe du rire aux pleurs. Un ouvrage qui touche en plein coeur !